Cela ne vous aura pas échappé, ce site internet et ce blog sont consacrés à la géobiologie dite scientifique. Pourtant la radiesthésie fait partie de la géobiologie. Elle est inévitable. Comment associer ces deux procédés totalement opposés ? Je décrypte cela pour vous.
Qu’est-ce que la radiesthésie ?

Géobiologie et radiesthésie ne sont pas reconnues par la science puisque ces disciplines sont difficilement mesurables. Pourtant, avec les moyens que nous avons aujourd’hui, des expériences poussées pourraient être menées mais peu de scientifiques osent s’y intéresser. Ces pratiques sont reliées au quantique et dans ce domaine, en 2022, beaucoup de choses nous échappent encore.
La radiesthésie consiste à percevoir l’invisible, c’est-à-dire les radiations, les vibrations, les informations et les ondes électromagnétiques que les objets, les êtres vivants ou autres énergies non palpables peuvent émettre. Pour capter cela, nous utilisons par exemple le pendule, les baguettes de sourcier ou l’antenne de Lecher.
La radiesthésie est utilisée depuis toujours par les géobiologues pour détecter les réseaux cosmo-telluriques (Curry, Hartmann, solaire, etc.). Bien sûr, nous utilisons le pendule, les baguettes de sourcier ou l’antenne de Lecher car il n’existe aucun autre moyen de percevoir ces réseaux invisibles ! Seul le géomagnétomètre peut détecter ces perturbations.
Cet appareil a été élaboré par le physicien allemand Mersmann. Il chiffre les variations du champ magnétique terrestre. Le problème est qu’il ne fait pas la différence entre les différents réseaux. Est-ce un réseau Curry ? Un réseau Hartmann ? Pour l’instant, seuls les outils de la radiesthésie peuvent nous donner la réponse.
Réaction des outils utilisés en radiesthésie par les géobiologues
L’être humain est sensible aux variations du champ magnétique terrestre. Nous possédons, dans différentes parties du corps, de la magnétite. Le biologiste Robin Baker aurait trouvé des millions de cristaux de ce minéral ferromagnétique naturel dans notre cerveau mais aussi dans le creux de nos coudes. C’est la magnétite qui permet aux oiseaux et aux baleines de s’orienter grâce au champ magnétique terrestre. C’est aussi en partie grâce à elle que le sourcier ou le géobiologue a une réaction avec ses baguettes !
Tout être vivant est sensible au champ magnétique même à des doses minimes. Lorsque le sourcier traverse un cours d’eau souterrain, la variation du champ magnétique généré par le lit de celui-ci déclenche une perte de tonus musculaire. C’est ce phénomène qui fait chuter la baguette ou l’antenne de Lecher du sourcier. C’est le même principe avec le géobiologue lorsqu’il entre « en résonance » avec une veine d’eau souterraine. Mais tout ne se joue pas avec des perturbations électromagnétiques. Ce n’est qu’un exemple. Il faut aussi associer la convention mentale à notre recherche.
Géobiologie, radiesthésie et convention mentale
Le pendule, les baguettes de sourcier et l’antenne de Lecher n’ont aucun pouvoir sans l’homme. C’est le corps humain avec l’aide du subconscient qui déclenche les réactions. C’est pour cette raison que la radiesthésie n’est pas crédible au niveau de la science « conventionnelle ». Avant de se servir de ces outils radiesthésiques, il faut établir une convention mentale très précise.
Qu’est-ce qu’une convention mentale en radiesthésie ? C’est une phrase très claire que nous disons dans notre tête en fonction de ce que nous recherchons. Chaque sourcier et géobiologue a sa propre méthode. Celle qui lui correspond le mieux. La convention mentale permet à l’opérateur d’établir un lien psychique avec ce qu’il recherche, de se focaliser uniquement sur ce qu’il désire trouver et d’envoyer un message informationnel dans l’espace afin d’avoir une réponse en retour.
D’après la mécanique quantique, le vide qui nous entoure n’est pas vide. Il est chargé d’informations comme notre corps. Par convention mentale, nous pouvons donc nous connecter à ce nuage informationnel. Sans ce protocole, et d’après mon expérience, vous ne trouverez rien ou alors vos recherches seront fausses, à côté de la plaque.
Prenons un exemple : je suis chez vous et je m’apprête à détecter le réseau Hartmann. Je vais prendre mon antenne de Lecher, outil de la radiesthésie par excellence, et je vais dire cette phrase dans ma tête avant de débuter la détection : « Je désire me rendre sensible au réseau Hartmann de cette maison, mon antenne s’abaissera lorsqu’elle le détectera ». Lorsque cette phrase est prononcée, mon cerveau entre dans un état proche d’une « conscience modifiée ».
Je suis alors incapable de répondre à une question si quelqu’un me parle durant cet acte. Comme dans une bulle, mon cerveau se ferme à toute perturbation extérieure. La convention mentale établie, entre mon subconscient et moi-même, va activer un lien avec un champ d’informations immatériel et je me retrouve dans un état proche d’une petite somnolence. Mes anciens clients pourront témoigner de cette situation et je m’excuse par avance pour les prochains si je vous parais dans les nuages lorsque vous me parlez !
Géobiologue : pendule, antenne, baguettes ?
Quand un sourcier cherche un puits ou qu’un géobiologue cherche un réseau cosmo-tellurique, il utilise entre autres la convention mentale et ses outils de radiesthésiste. Vous l’aurez compris, le pilote c’est le corps humain : nos muscles, nos mains, notre cerveau, notre subconscient. Les instruments réagissent seulement lorsque nous les tenons.
C’est pourquoi, vous pouvez avoir des baguettes de sourcier en plastique ou un pendule en bois. Peu importe la matière, ils réagiront quand même. Vous pouvez même fabriquer votre propre pendule avec un fil et une simple bague accrochée au bout.

La radiesthésie, indispensable au géobiologue
Nous sommes dotés de cinq sens qui servent uniquement à notre survie : la vue, le toucher, l’ouïe, l’odorat et le goût. Il faut comprendre que notre vue est assez limitée et qu’il existe une vie invisible autour de nous. Ce n’est pas parce que nous ne voyons pas certaines choses qu’elles n’existent pas. Pensez aux ondes radio par exemple ! Avec la radiesthésie, c’est le corps humain qui devient récepteur.

Lorsqu’un sourcier trouve une source et que le géobiologue permet à ses clients de mieux dormir en les sortant d’un cours d’eau souterrain, nous ne pouvons plus nier qu’il se passe « quelque chose ». La radiesthésie est un art. Un géobiologue sérieux saura détecter convenablement les perturbations de votre maison. Faites lui confiance !

